vendredi 28 novembre 2014

Coup de coeur : Revivez la journée d'étude grâce à Twitter

Lors de la troisième journée d'étude nous avons utilisé le hashtag #JE3Aeda

Plusieurs twittos ont live-twitté cette journée, vous pouvez retrouver ci-dessous leur contenu !

Valoriser les archives, diffuser les savoirs


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jeudi 20 novembre 2014

Journée d'étude J - 7

A une semaine seulement de notre journée d’étude, nous vous présentons aujourd’hui l’intervention de Mmes Isabelle Chiavassa et Isabelle Dion, conservateurs en chef auprès des Archives nationales d’outre-mer (ANOM) situées à Aix-en-Provence.

Après avoir été Chef de plusieurs missions au sein des Archives nationales entre 1985 et 1992, Mme Chiavassa a été Directrice adjointe des Archives départementales des Bouches-du-Rhône. Depuis 2009, elle a intégré les ANOM où elle est plus précisément Chargée d'inventaire et de recherches dans les fonds de l'Algérie.
Mme Dion a été Chargée de la communication des Archives de France auprès du Directeur Jean Favier entre 1987 et 1993, avant de travailler aux ANOM. Actuellement, elle y est Responsable de l'iconothèque, des publications et des expositions.

Leur intervention abordera plusieurs actions de valorisation virtuelle menées aux ANOM.
Mme Dion évoquera notamment les expositions virtuelles mises en place aux ANOM depuis une dizaine d'années, et préférées aux expositions in situ car permettant de toucher un public beaucoup plus large, les ANOM n'étant pas, du fait de leur spécificité, intégrées à la vie culturelle locale. La réalisation de « dossiers du mois » traitant d’un sujet précis sur le site Internet sera également abordée.
Mme Chiavassa nous parlera plus précisément du portail des outre-mers lancé à l’occasion de l’année des outre-mers, et qui permet à l’internaute de trouver en ligne textes, images et nombreuses ressources autour d’un sujet donné (sucre, esclavage, etc.). Elle évoquera également la politique d’encodage des inventaires en xml/EAD menée par les ANOM depuis 10 ans et ayant conduit à la mise en ligne de 160 inventaires via l’application IREL, tout en soulignant l’intérêt essentiel de cette application pour le chercheur, qui peut désormais interroger l’ensemble des instruments toutes périodes ou colonies confondues, tout en utilisant de multiples points d’accès.

Si vous souhaitez d’ores et déjà avoir une idée de l’ensemble de ces actions, n’hésitez pas à vous rendre sur le site Internet des ANOM par ici : http://www.archivesnationales.culture.gouv.fr/anom/fr/Action-culturelle/Portail-des-outre-mer-francais.html

jeudi 13 novembre 2014

Journée d'étude J - 14


Cette semaine, focus sur l’intervention « Mise en place de stages de citoyenneté entre le service territorial d’éducation en milieu ouvert (STEMO) et le service éducatif des Archives de Marseille » que nous présentera Raymond Ruot.
Diplômé en droit et après avoir exercé différents métiers, Raymond Ruot intègre les services de la ville de Marseille en 2000. Depuis 2006 il est affecté au service éducatif des Archives. A côté de l’accomplissement des missions premières dévolues au public scolaire , le service éducatif des Archives de Marseille met en place des ateliers afin de sensibiliser les publics dits « empêchés » et défend une méthode différente d’accès au savoir.
Lors de la journée d’étude, Monsieur Ruot développera sa présentation sur le rapprochement mis en place entre le service éducatif des Archives de Marseille et le Centre d'action éducative Unité Nord dépendant du STEMO pour la mise en place de stages de citoyenneté, destinés aux mineurs, dans le cadre d'une composition pénale. La restitution d'un stage organisé en deux journées permettra d’illustrer un exemple d'exploitation de documents d'archives dans un cadre innovant. Cette opération mettant en lumière le fait que les archives sont un formidable outil d'exercice des droits de l'homme et de la citoyenneté.
Pour en savoir plus sur le service éducatif des Archives de Marseille, rendez-vous sur  : http://www.marseille.fr/siteculture/les-lieux-culturels/archives-municipales/service-educatif

jeudi 6 novembre 2014

Journée d'étude J - 21

Aujourd’hui, nous vous présentons l’intervention de Clément Dorival intitulée « Images en mémoire, images en miroir ».

Titulaire d’une maîtrise d’ethnologie et d’un master d’anthropologie visuelle, Clément Dorival est un auteur-réalisateur engagé dans la création de récits documentaires, que ce soit par la réalisation de films documentaires, l'écriture de livres ou la direction d'ateliers de cinéma.  Impliqué au sein de Lieux Fictifs depuis 2002, il a été assistant-réalisateur sur le film 9m2 pour deux puis auteur de l’ouvrage 9m2 pour deux, récit d’une expérience cinématographique en prison (2006). Il a réalisé en 2010 avec l’ethnologue Christophe Pons Les yeux fermés, film documentaire sur les relations que les Islandais entretiennent avec leurs morts. Depuis 2012, il intervient comme formateur dans les masters « Métiers du film documentaire » et « Archives sonores et audiovisuelles » d’Aix Marseille Université. En 2013, il a assuré la coordination et la direction artistique de l’exposition de films courts Images en mémoire, images en miroir, en co-production avec l’INA et Marseille-Provence 2013 Capitale européenne de la Culture.

Son intervention sera l’occasion de revenir sur ce projet original d'atelier de cinéma déployé de 2009 à 2013 dans six pays d’Europe et de la Méditerranée (France, Allemagne, Espagne, Italie, Liban et Norvège) : en prison, des personnes détenues et, à l’extérieur, des étudiants, des adultes, des personnes âgées ont réalisé des films courts à partir d’images d'archives de l'Institut national de l'audiovisuel (INA). Ces groupes d'amateurs se sont appropriés ces images d’archives pour restituer, à travers l’écriture fictionnelle, une part de leur histoire et de leur regard. Ils ont dialogué et créé des courts-métrages singuliers qui interrogent l’intimité, la mémoire et l’Histoire. Car plonger son regard dans l’archive, c’est se découvrir soi-même parmi les autres. L’image-mémoire devient image-miroir.
 
L’exposition présente une sélection de films qui constitue un parcours visuel et sonore dans l’histoire collective et les trajets individuels. Images en mémoire, images en miroir donne à voir la réalité et les émotions des anonymes, des hommes et des femmes qui n’ont habituellement pas la parole. Ce projet collaboratif rend visible les invisibles. Il s’inscrit dans une approche contemporaine du cinéma et du numérique qui interroge la notion d’auteur et renouvelle le regard sur les images et sur l’histoire.
 
Pour avoir un avant-goût de cette présentation, vous pouvez vous rendre ici : http://www.lieuxfictifs.org/catalogue/frontieres-dedans-dehors/article/images-en-memoire-images-en-miroir 

lundi 3 novembre 2014

Mieux connaître les services « archivistes itinérants »

Pour mieux faire connaître et donner de la visibilité aux spécificités du métier d’archiviste itinérant, deux membres de la #TeamAeda lancent une enquête en ligne.

Étudiants de la première promotion du Master 2, Julien Boivin et Mathieu Profizi ont été membres du Bureau de l’association pendant plusieurs années, respectivement comme trésorier et président. Professionnellement, ils sont tous deux archivistes itinérants, mais dans des collectivités très différentes : Julien pour une communauté d’agglomération (au statut d’établissement public de coopération intercommunal) et Mathieu pour un centre de gestion de la fonction publique territoriale (au statut d’établissement public local à caractère administratif).

Méconnus, ces services « archivistes itinérants » qui permettent à des collectivités territoriales de disposer d’archivistes pour des missions variées, dans leurs durées comme dans leurs contenus, sont devenus des acteurs incontournables dans de nombreux territoires.

Ainsi, en un peu plus de vingt ans, plus de la moitié des centres de gestion se sont dotés d’une mission d’aide à l’archivage pour les collectivités de leur département. Et depuis quelques années, dans la dynamique de la mutualisation et/ou dans le cadre d’une prestation de service, des établissements publics de coopération intercommunale ont également mis en place des missions d’aide à l’archivage pour leurs communes membres.

Ces services sont par ailleurs une source importante d’emplois pour les archivistes nouvellement diplômés mais également pour des professionnels plus expérimentés. Toutefois, l’organisation et le fonctionnement de ces services « archivistes itinérants » peuvent être très différents d’une structure à une autre.

Mathieu et Julien ont donc élaboré deux questionnaires, respectivement destinés aux services « archivistes itinérants » des centre de gestion et des établissements publics de coopération intercommunale, afin de mieux appréhender ce « phénomène » mais également pour faire apparaître les différences et les points communs organisationnels et fonctionnels.

Pour davantage d’informations, rendez-vous dans le prochain numéro d’Archivistes ! et sur le Forum internet de l’Association des archivistes français ! Vous pouvez également contacter Julien et Mathieu par mail (questionnaires.archivistes@gmail.com) afin d’en savoir plus sur leur démarche comme sur leur métier.

samedi 1 novembre 2014

Coup de coeur : Biba

C'est avec un peu de retard que nous vous livrons le coup de cœur du mois d'octobre. Dont, oui, vous avez bien lu le titre, a pour objet la revue girly Biba ! La #TeamAEDA, c'est bien connu, est une grande liseuse de revues scientifiques, publications professionnelles mais également revues de poulettes !

C'est donc avec grand plaisir que nos yeux se sont posés sur cet article intitulé "Faites votre arbre généalogique pour partir sur les traces de vos ancêtres" qui présente de manière synthétique mais renseignée l'apport des fonds d'archives dans la réalisation d'un arbre généalogique.